Les chercheurs ont observé la réponse métabolique chez des femmes sveltes et en bonne santé ne prenant plus de petit déjeuner.
Ils ont ainsi constaté une augmentation de leur taux de cholestérol et une diminution de sensibilité de leur cellules à l’insuline (prédispose l’apparition d’un diabète de type II).
Ces deux derniers éléments, à terme, sont des facteurs de risques d’apparition de maladies cardio-vasculaires.
Mis à part ces observations métaboliques, les chercheurs ont constaté que, lorsque les femmes ne prenaient pas leur petit déjeuner, leur consommation, en terme de calories, était plus élevée.
En effet , ne pas prendre de petit déjeuner favoriserais le grignotage en deuxième partie de journée, aux alentours du goûter.
Ce qui favorise ainsi la prise de poids te l’obésité.