Par une belle après-midi d’été, j’avais décidé de participer à une promenade équestre dans une magnifique région vallonnée couverte de forets. Après environ une heure de chevauchée, nous rejoignîmes la Warche et, pour longer la rivière, nous nous mîmes en file indienne. J’occupais la troisième position, derrière le moniteur, en tête, et une jeune cavalière qui donc me précédait. Je ne l’avais pas particulièrement remarquée jusque là, elle portait une tenue de circonstance : bottes de cuir, culotte bouffante à balzanes et bombe de protection.
Par une belle après-midi d’été, j’avais décidé de participer à une promenade équestre dans une magnifique région vallonnée couverte de forets. Après environ une heure de chevauchée, nous rejoignîmes la Warche et, pour longer la rivière, nous nous mîmes en file indienne. J’occupais la troisième position, derrière le moniteur, en tête, et une jeune cavalière qui donc me précédait. Je ne l’avais pas particulièrement remarquée jusque là, elle portait une tenue de circonstance : bottes de cuir, culotte bouffante à balzanes et bombe de protection.
Mon attention fut alors attirée par une tache humide qui prenait naissance au niveau de son entrejambe. La promenade se poursuivait à différentes allures : pas, trot, galop, et la tache humide se propageait jusqu’à atteindre la ceinture vers le haut et les cuisses vers le bas. De retour aux écuries, la cavalière sautât de cheval, se précipitât vers le vestiaire du club et disparut.
La première explication qui me vint à l’esprit fut que cette jeune femme n’avait pu retenir un besoin urgent d’uriner. Plus tard, en y repensant, je me dis que les frottements de son sexe sur la selle avaient dû provoquer chez elle un orgasme mais que, vu la taille de la tache humide, cela était peu probable. On se souvient qu’à une certaine époque, il était malséant pour une femme de monter un cheval à califourchon plutôt qu’en amazone pour des raisons vestimentaire, disait-on, mais peut-être également parce qu’il était inconvenant pour une femme de prendre ce genre de plaisir, selon les critères puritains hérités de deux milles ans d’une civilisation imprégnée de culture judéo-chrétienne associant un sentiment de culpabilité à toute forme de plaisir.
J’étais jeune et relativement peu informé sur la physiologie féminine. La formation scolaire ne comprenait alors aucun cours d’éducation sexuelle et les parents parlaient peu de sexe à la maison : la femme était un grand mystère pour le jeunes gens de cette époque.
J’avoue être resté perplexe quant à la nature de cette émission de fluide féminin.
Quelques années plus tard, à l’issue d’une soirée festive organisée après une réunion professionnelle, je proposais à une collègue ne disposant pas de moyen de transport motorisé de la raccompagner à son domicile. Arrivés devant son appartement, elle m’invita à l’accompagner chez elle prendre un dernier verre, ce que j’acceptais volontiers. Elle m’apprit qu’elle était divorcée et vivait seule. Son attitude était plus qu’accueillante et je compris qu’elle s’attendait à ce que nous passions quelques instants agréables ensemble. Quelques baisers et caresses plus tard nous nous retrouvâmes nus, enlacés sur son lit, en train de faire l’amour.
Après quelques chaudes étreintes, elle me fit comprendre qu’elle souhaitait que je m’étende sur le dos. Elle s’assit sur mon ventre et posa ses mains sur ma poitrine.
Nous nous regardions dans les yeux lorsqu’elle se soulevât légèrement, saisis la base de ma verge d’une main et l’engloutit dans son vagin tout humide. J’accompagnais ses mouvements de va-et-vient de plus en plus amples, sa respiration de plus en plus haletante rythmait ses gémissements assourdis et ses petits cris, révélant clairement qu’elle approchait de l’orgasme. Soudain, fermant les yeux et crispant les lèvres, elle se souleva jusqu’à ce que seul mon gland reste emprisonné à l’entrée de son vagin, que je sentais frémir et se contracter spasmodiquement. Je fus alors inondé d’une abondante quantité de fluide tiède ruisselant de son vagin, je le senti s’écouler le long de ma verge, imprégner mes poils pubiens, atteindre ma raie culière et mon anus avant d’être absorbé par les draps. Cette sensation, nouvelle pour moi, fut tellement agréable et si excitante que dès qu’elle eut fini de jouir, je replongeais à nouveau mon sexe dans sa chatte chaude et humide et ne tardais pas à éjaculer, mélangeant nos fluides.
Cette expérience torride eut pour conséquences non seulement de transformer cette relation amicale en liaison amoureuse, mais aussi de me remémorer la tache humide sur la culotte de ma cavalière. Il était temps d’approfondir mes connaissances en la matière : incontinence ou éjaculation ?
En bon scientifique, entraîné à la recherche bibliographique, je découvrit rapidement le concept du point G, (Grafenberg spot) dont la stimulation provoque chez certaines femmes une éjaculation plus ou moins abondante. Depuis que l’accès à Internet s’est généralisé, une recherche utilisant les mots clés appropriés fournit de nombreux sites intéressants sur le sujet.
Il semble cependant que la question ne soit pas résolue. Au moment de l’orgasme, le fluide émit par la femme jaillit de l’urètre et pourrait être de l’urine, un éjaculât produit par les glandes paraurètrales ou les glandes de Skeen (prostate féminine) ou un mélange des deux.
(Il n’est bien entendu pas question ici du fluide lubrifiant exsudé de la parois vaginale)
Nous avons tous entendu un jour une de nos charmantes amies avouer : » j’ai tellement ri que j’ai pissé dans ma culotte »
Si un accès de fou rire est susceptible de déclencher un pipi-culotte chez certaines femmes, pourquoi un orgasme ne pourrait-il provoquer une réaction similaire ?
Quoi qu’il en soit, l’essentiel n’est-t-il pas la sensation tellement agréable pour les deux partenaires procurée par le jaillissement de cette fontaine magique. J’en suis personnellement devenu accros et ma compagne sait que j’aime les orgasmes chauds et humides, éjaculât ou urine. Dorénavant, nos inhibitions primaires sont dépassées et nous sommes devenus adeptes de l’urolagnie, Pour notre bonheur mutuel, nous n’hésitons pas à soulager nos vessies l’un sur l’autre et même l’un dans l’autre.